Chaque mois, notre groupe, où chacun peut proposer et impulser une action, se réunit lors des "Mercredis d’éducation Nouvelle". Là, nous inventons et expérimentons (c’est très stimulant) des démarches de construction de savoirs pour la réussite de tous. Là aussi, nous entendons les réalisations d’Education Nouvelle portées par nos membres telles que :
– le remplacement des examens notés (non légalement prévus d’ailleurs) par un chef-d’œuvre pédagogique,

– l’écriture de deux livres didactiques :

• Exposés interactifs. Pourquoi ? Comment ? ? Editions Labor 2001 - L. Guillaume et
• La rage de faire apprendre... De la remédiation à la différenciation, L. Guillaume et J. F. Manil
  – la publication de
• Pratiques d’Education Nouvelle n°1 (1995) – n° 2 (2002) et n° 3 (2005), ouvrage collectif du GBEN,
• et de nombreux articles dans des revues belges (Echec à l’Echec, quotidiens, L’Arc-en-ciel,...) ou dans "Dialogue" du GFEN,

– la mise en réseau d’enseignants du primaire et du secondaire dans leurs difficiles actions d’Education Nouvelle au sein d’institutions majoritairement traditionnelles et sélectives.

– l’insertion dans des groupements politiques ainsi que des actions ponctuelles auprès des Ministres de l’Education,

– l’organisation de stages en Belgique et à l’étranger (Luxembourg, France, El Salvador, Nicaragua, Panama, Mexique, Bolivie, Bulgarie, Russie, Rwanda),

– l’ouverture en 1992 d’une école officielle (implantation communale) d’Education Nouvelle de niveau fondamental,

– la mise en route de classes en Education Nouvelle dans des écoles maternelles, primaires, secondaires ainsi que des partenariats efficaces avec des Ecoles Normales.

Nous nous réunissons dans un local communal à Buzet (Floreffe) et sommes tous bénévoles pour assurer une administration réduite.
Le G.B.E.N. reçoit souvent des intervenants extérieurs riches d’expériences en arts, écritures, philosophie, pratiques d’apprentissage,...
Toute personne désireuse de participer à nos réunions de recherche ou à nos stages peut prendre langue avec nous.

Charles PEPINSTER